Débutant, jouez ce que vous détestez vous en sortirez grandi
Publié : lun. 1 févr. 2010 13:28
Comment assumer le massacre ? Comment assumer tous ces grincements, ces couinements par rapport auxquels un arrachage de dents passerait pour une sucrerie d'enfant, une craie raclée sur un tableau une symphonie ?
Certains professeurs, du moins ceux ayant réussi a préserver une part d'humanité en eux, vous encourage à prendre plaisir en jouant de votre instrument, n'hésitant pas à rappeler que l'apprentissage passe par ce plaisir. Trouver ce plaisir revient donc à jouer les morceaux que l'on aime qu'il soit classique celtique ou du fin fond de l'auvergne, et je n'ai rien contre la bourrée, encore que... C'est à ce moment cruel que le morceau sublimé, le morceau adulé, le morceau préféré, celui qui nous transporte l'âme est torturé avec acharnement, les notes étant écartelées ou compressé dans l'infâme lourdeur de la volonté acharnée du débutant, le rythme foudroyé, et ainsi de suite... Notre morceau préféré devient alors notre pire cauchemar et nous renvoi à notre immense médiocrité.... Et le plaisir ? Et le plaisir alors ?
Et beh oui le plaisir. Comment pourrais-je prendre plaisir à massacrer ce que j'aime ?
La première solution, celle que choisi la grande majorité de la population, reviendrait à accepter et à ranger l'instrument à jamais. Ce uqi n'est guère envisageable...
La seconde serait donc de prendre des morceaux que l'on n'aime pas et prendre un malin plaisir à les détruire !
Je me déteste quand je leur fait tant de mal...
Certains professeurs, du moins ceux ayant réussi a préserver une part d'humanité en eux, vous encourage à prendre plaisir en jouant de votre instrument, n'hésitant pas à rappeler que l'apprentissage passe par ce plaisir. Trouver ce plaisir revient donc à jouer les morceaux que l'on aime qu'il soit classique celtique ou du fin fond de l'auvergne, et je n'ai rien contre la bourrée, encore que... C'est à ce moment cruel que le morceau sublimé, le morceau adulé, le morceau préféré, celui qui nous transporte l'âme est torturé avec acharnement, les notes étant écartelées ou compressé dans l'infâme lourdeur de la volonté acharnée du débutant, le rythme foudroyé, et ainsi de suite... Notre morceau préféré devient alors notre pire cauchemar et nous renvoi à notre immense médiocrité.... Et le plaisir ? Et le plaisir alors ?
Et beh oui le plaisir. Comment pourrais-je prendre plaisir à massacrer ce que j'aime ?
La première solution, celle que choisi la grande majorité de la population, reviendrait à accepter et à ranger l'instrument à jamais. Ce uqi n'est guère envisageable...
La seconde serait donc de prendre des morceaux que l'on n'aime pas et prendre un malin plaisir à les détruire !
Je me déteste quand je leur fait tant de mal...