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Article à lire

https://www.futura-sciences.com/sante/a ... ie-111755/

C'est un discours qui revient régulièrement et qui fait sens effectivement .
Dans la musique il y a deux choses distinctes l'une étant la pratique , l'autre étant l'écoute.
la pratique de la musique, impose un travail cérébrale non négligeable, comme le pourrait être la lecture par exemple, cependant ce travail est lié a des mouvements physiques, doigts, lèvres , mains, souffle, pieds, qui de plus est avec des mouvements qui sont dissociées! .Cela va donc bien audela du travail intellectuel que pourrai déclencher la lecture.
Je dirai même dissociées complexes! en escalade les mouvements de droite et de gauche, pieds et mains ( excellente activité physique) sont dissociés en musique nous retrouvons la même chose pour droite et gauche et en plus les doigts qui font des mouvements différents a des rythmes différents.
dans le même temps les pieds qui battent la mesure le cerveau qui compte les croches, les yeux qui lise la partoche en passant d'une clef a l'autre ,l'oreille qui nous fait corriger notre justesse et cela sans compter l'attention a porter a nos copains de pupitre et au chef ....cela fait beaucoup de choses non ?
si effectivement avec cette activité nous ne maintenons pas en " forme" quelques fonctions cognitives ....c'est ne rien y comprendre ....
La musique nous apporte aussi d'autre chose , nous devons savoir respirer " a la mode Yoga " et tenir notre corps dans une posture qui lui soit favorable .....être a l'écoute de notre corps .

Rien a voir avec l'activité chips bière Télé ...... même si j'aime bien les chips la bière aussi .. la télé de moins en moins ... ou juste pour des films ...

quant a l'écoute ... c'est comme un plat, une assiette , c'est quelque chose qui déclenche des réactions ... quel bénéfice pour notre cerveau ? si les études montrent que c'est bénéfique alors .... c'est parfait .

Des études montrent aussi que les enfants pratiquant un instrument sont généralement plus "ouverts' , plus réceptifs que les autres.
Voilà deux jours déjà, j'ai reçu à la maison un jeune musicien de vingts ans. Brillant élève en secondaire, il est actuellement à Belfort dans une grande école. Il a fait un long séjour en Autriche. Je lui ai construit un violon voilà douze ans déjà, un violon simple, sans prétention, mais qui sonne très bien, et surtout, permet par sa réactivité, sa facilité de jeu, d'aborder les passages les plus difficiles. Une fois parti de la région parisienne, ce jeune homme a trouvé de nouveaux professeurs, aussi bien à Belfort qu'en Autriche où il a rejoint un orchestre de qualité et il me disait avec passion que ce changement de profs lui a permis de faire beaucoup de progrès. Il croyait savoir jouer du violon et il a découvert que beaucoup restait à faire. Cette remise en cause consentie sur des détails qui s'avèrent essentiels, ce regard sans concession sur soi, restent indispensables pour aller toujours plus loin. Sans cela, nous sommes condamnés à ne jamais dépasser le mur d'autosatisfaction - ou de paresse - que nous avons nous-mêmes érigé.
Je suis certain que le violon qui l'a accompagné tout au long de ses études l'a aidé à devenir ce qu'il est par la manière de réfléchir, la logique imaginative qu'impliquent cet instrument.